EXPOSITION PHOTOGRAPHIE
Dans le cadre de la P’tite Istanbul, proposée par l’Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie
« LES KOLBERS »
Photographies de YANN RENOULT
Du 5 au 29 juin 2018.
Dans le cadre du cycle d’expositions « Escale à la Grange aux Belles – Images du réel »
Au centre Paris Anim’ La Grange aux Belles : 6 rue Boy Zelenski – 75010 Paris
Vernissage
Jeudi 7 juin 19h-21h
Infos :
www.facebook.com/EscaleALaGrangeAuxBelles/
www.cargocollective.com/yannrenoult
Le village de Zale, ancien refuge des peshmergas, combattants kurdes, perdu dans les montagnes du Kurdistan à la frontière de l’Iran et de l’Irak, est aujourd’hui le théâtre d’un étrange ballet quotidien. Ici, l’une des seules sources de revenus est le transport de marchandises. Commandées à l’étranger, elles finissent leur trajet, acheminées de l’Irak à l’Iran à dos d’homme ou de cheval, par des Kurdes iraniens. Si certains d’entre eux bénéficient d’un certificat de travail, nombreux sont ceux qui traversent illégalement. Outre les tirs des garde-frontières, ils doivent affronter des pistes étroites et dangereuses, enneigées l’hiver, dont le sol est souvent encore infesté de mines.
EXPOSITION PHOTOGRAPHIE
Dans le cadre de la P'tite Istanbul, proposée par l'Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie « LES KOLBERS » Photographies de YANN RENOULT Du 5 au 29 juin 2018. Dans le cadre du cycle d’expositions « Escale à la Grange aux Belles – Images du réel » Au centre Paris Anim’ La Grange aux Belles : 6 rue Boy Zelenski – 75010 Paris Vernissage Jeudi 7 juin 19h-21h Infos : www.facebook.com/EscaleALaGrangeAuxBelles/ www.cargocollective.com/yannrenoult Le village de Zale, ancien refuge des peshmergas, combattants kurdes, perdu dans les montagnes du Kurdistan à la frontière de l’Iran et de l’Irak, est aujourd’hui le théâtre d’un étrange ballet quotidien. Ici, l’une des seules sources de revenus est le transport de marchandises. Commandées à l’étranger, elles finissent leur trajet, acheminées de l’Irak à l’Iran à dos d’homme ou de cheval, par des Kurdes iraniens. Si certains d’entre eux bénéficient d’un certificat de travail, nombreux sont ceux qui traversent illégalement. Outre les tirs des garde-frontières, ils doivent affronter des pistes étroites et dangereuses, enneigées l’hiver, dont le sol est souvent encore infesté de mines.